| Lettre d'amour : mon coeur en partage | 
		 
		
			| Posté par lettres types le 23/11/2007 22:26:19 (4006 lectures)  | 
		 
		
			Mon coeur en partage Suit ton corps sauvage. Passion, courbes en fusion Quand flamboie notre union. Emporte moi dans les contrées  Où flottent les fleurs de vérité ! Fais moi ressentir le silence Quand nos corps sont violence ! Brise les voiles de l'infini, Fais moi frémir cette nuit ! Naissent mille caresses félines, Nos ventres jouent, s'animent ! Instant brûlant, flammes de vent A l'ombre de l'instant palissant !    | 
		 
		
			
		 
		 
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			| Lettre d'amour : Aime moi | 
		 
		
			| Posté par lettres types le 23/11/2007 22:24:52 (3476 lectures)  | 
		 
		
			Aime moi ce jour  Enfante l'amour.  Caresse mon âme  Allume ta flamme. 
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  Aime moi ce soir  Offre moi l'espoir,  Au bout du couloir  S'estompe le noir. 
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  Réchauffe mon coeur  D'une main, douceur.  Donne moi ton eau  Caresse ma peau. 
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  Allume l'étoile  D'une nuit sans voile.  Embrasse mon sein  D'un baiser satin.    | 
		 
		
			
		 
		 
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			| Lettre d'amour : Sans toi je ne suis rien ... | 
		 
		
			| Posté par lettres types le 23/11/2007 22:23:20 (4903 lectures)  | 
		 
		
			Quand je vois le jour se lever, Ma première pensée va vers toi, Quand je vais le soir me coucher, Ma dernière pensée est pour toi
  Pour la femme que j'aime, Celle qui me rend en pleurs, Je t'offre ce poème, Il vient du fond du coeur
  Je me souviens de ces moments, Avec toi et passionnément. Je t'ai vu, avec plaisir, Sentir ta chaleur m'envahir.
  Quand j'ai dû lire ce message, Je suis tombé de mon nuage. Le monde autour s'est effondré, Je me sentais seul, ruiné.
  Sans toi le monde n'a aucun sens, Ma voix n'est plus que silence, Mes yeux se brouillent , mon coeur s'arrête, Comme le calme avant la tempête.
  Tu m'as apporté bonheur, joie, Moi le plus heureux dans tes bras, Cette décision t'appartiens, Sache que sans toi je ne suis rien.
  Quand je vois le jour se lever, Ma première pensée va vers toi, Quand j'irais un soir me coucher, Un sommeil, Éternel Ma dernière pensée sera pour toi
  Je t'aime    | 
		 
		
			
		 
		 
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			| Lettre d'amour :  | 
		 
		
			| Posté par lettres types le 23/11/2007 22:22:15 (3997 lectures)  | 
		 
		
			Laisse-moi t’aimer  Comme ne l’a jamais fait personne Laisse-moi t’aimer  Hiver, printemps,…été et automne Laisse-moi t’aimer  A voir ma peau qui frissonne 
  A chaque regarde qui vers moi  S’adresse et m’emprisonne  Dans tes yeux je me noie  Et mes yeux inondés s’étonnent  Ton amour a su se forger  Dans les profondes des zones  Ivre d’une seule gorger  De ses sourires qui impressionne
  Laisse-moi t’aimer  Comme je n’ai jamais aimé personne  Laisse-moi t’aimer  De tout l’amour qui passionne  Laisse-moi t’aimer  Aussi follement que je raisonne
  Faire de mon âme ton empire  Et faire de mon cœur ton trône  Les étoiles s’unissent pour t’offrir  La plus majestueuse des couronnes Ton amour saisie en or pur  Dont gravé chaque voyelle et consonne Le soleil reproche à son allure  D’apparaître devant toi comme un misérable clone.    | 
		 
		
			
		 
		 
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			| Lettre d'amour :  | 
		 
		
			| Posté par lettres types le 23/11/2007 22:19:34 (5528 lectures)  | 
		 
		
			Je suis enfiévré de toi, mon doux et tendre oiseau des îles, toi qui m’as fait découvrir cet archipel inconnu qu’est l’amour Je n’ai qu’une envie me coller contre toi, goûter, savourer ta tendre peau si douce.  Me faire dorloter par toi, ma douce et petite déesse câline.  Ma plume est chaque jour davantage, dépendante de ton souvenir.  J’ai un besoin absolu et vital de ce visage qui me sourit dans la clarté du matin, heureuse, comblée enfin. Je n’ai point l’intention de vivre dans mon seul souvenir, il est morose et si fade, à la longue, à vrai dire.  Pareil à un malade sans remède j’erre dans les volutes vaines des imaginaires plaisirs. Ton ombre voluptueuse plane sur chacun de mes jours. Je ne peux que me rappeler que de présence si douce, si rassurante, si féminine.  Ressasser ces souvenir d’hier me pèse, me fait languir, et finalement me perd. Car rien ne vaut ta douce voix, caressante et enfantine, tes mains si pleines de mille attentions, si généreuses, si sublimes. Ta présence incarnée est mon unique remède, petite colombe, parfois en cage, mais toujours si altère.  J’aspire encore et encore et encore à te voir, voilà donc mon unique espoir.  Tu es mon soleil se levant sur les dunes du désert. L’écho du souffle si puissant, balayant, les angoisses  Tu es le torrent de plaisirs qui fait se lever en moi, l’homme qui sommeille, et ardemment te désire.    | 
		 
		
			
		 
		 
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